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  • Perspectives plurielles : art, langue et patrimoine dans le Maroc contemporain
    No 6 (2024)

    Le sixième numéro de la revue Littérature, Art et Langue explore les enjeux culturels, artistiques et linguistiques qui façonnent le Maroc d’aujourd’hui. Portées par des universitaires, chercheurs et doctorants, marocains et internationaux, les contributions réunies ici analysent les dynamiques identitaires, les dialogues interculturels et les transformations du patrimoine avec rigueur et sensibilité.

    Entre études littéraires et réflexions variées sur les arts et les langues, ces travaux dessinent un tableau nuancé de la culture marocaine dans sa dynamique où se croisent hybridité et interdisciplinarité. Les interrogations sur l’altérité, l’identité, l’héritage poétique ou l’engagement artistique révèlent un Maroc en mouvement, entre continuité et renouveau.

  • Regards croisés sur le Maroc : entre hier et aujourd’hui
    No 5 (2023)

    Le cinquième numéro de la revue Littérature, Art et Langue explore les « Regards croisés sur le Maroc entre hier et aujourd'hui ». Il convie à une immersion envoûtante au cœur des échanges, dévoilant avec finesse les traits saillants et les entrelacements subtils entre l'hier et l'aujourd'hui. De Charles de Foucauld à Majorelle, des peintres européens aux artistes de l’ère postcoloniale tels que Farid Belkahia, l'ouvrage ourdit une trame culturelle où la linguistique occupe une place cruciale. De la peinture à la musique-poésie, en passant par l'analyse des dédales inextricables de la darija, chaque contribution célèbre l'identité marocaine, sa propension à prospérer tout en pérennisant ses valeurs. Cet opus n'est autre qu'un échantillon célébrant la richesse culturelle du royaume chérifien.

  • Le Maroc, carrefour culturel Orient / Occident
    No 4 (2022)

    À la lecture de ces divers articles, il semble qu’une confirmation de la variété de la culture marocaine se dessine, incluant les apports amazighe, arabe, musulman, africain et même français qui lui donne sa pluricolorité, son ouverture au monde et l’extraordinaire capacité à rendre à chacun sa spécificité sans que s’efface une identité nationale.

    Une nouvelle fois, la notion d’hospitalité qui œuvre à certifier la reconnaissance de l’altérité éclaire la nation marocaine et lui accorde ainsi un rayonnement international par son dialogue permanent entre Orient et Occident.

  • Mythes, contes et représentations dans la culture marocaine
    No 3 (2021)

    Le troisième numéro de la revue Littérature, Art et Langue s’intéresse aux mythes et légendes du Maroc dans leur diversité et restitue un tableau de l’imaginaire marocain, produit conjoint de l’Histoire et des origines.

  • Arts traditionnels au Maroc. Conservation, expressions littéraire et linguistique
    No 2 (2020)

    C’est un grand honneur pour moi d’être l’ambassadeur de mes collègues et des étudiants, pour témoigner ici du respect et de la considération envers Monsieur Larbi El AMIRI, professeur au Département de Langue et de Littérature Françaises à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Beni Mellal. Qu’il trouve dans cet ouvrage consacré aux arts traditionnels au Maroc un hommage que sa valeur mérite, tout comme les qualités que nous lui reconnaissons.

    Son comportement irréprochable au sein de la faculté en général, et du département en particulier, son assiduité au travail, sa volonté d’être utile, le dévouement dont il fait preuve envers ses étudiants et ses collègues, son honnêteté foncière en font un homme d’exception, un grand homme admiré de nous tous. Face à lui nous sommes en présence d’un professeur qui rayonne par ses qualités humaines et par son souci de perfectionner sans cesse son enseignement pour le bien et la satisfaction de ses étudiants. Il porte haut sa vocation et son parcours d’enseignant. Aussi sommes-nous fiers de lui dédier ces pages qui sauront lui dire combien nous l’apprécions.

  • Le patrimoine en questions
    No 1 (2019)

    Dans les remous de l’Histoire, le Maroc a su préserver une identité multiple, dont certains aspects ont été parfois contestés, mais qui a résisté aux déferlements successifs dont les parts plus secrètes renaissent par la grâce de chercheurs.

    La région du Tadla en est un exemple et parmi les universitaires qui se sont dévoués à la renaissance d’un patrimoine, le professeur Bennasser Oussikoum en est l’un des dignes représentants. OEuvrant à la connaissance de la langue originelle dans sa richesse et sa variété, il a établi un volumineux dictionnaire (Amazigh-Français du parler des Ayt Wirra du Moyen-Atlas) de 1021 pages qui recense un vocabulaire, lequel sans ses travaux, se serait égaré dans les méandres du temps tant la mémoire humaine est faillible.

    Serait-ce à dire qu’il a négligé pour autant les cultures voisines, celle portée par l’arabe ou celle que le protectorat français a diffusée durant un demi-siècle ? Il n’en est rien car ses fonctions de doyen au sein de la faculté des Lettres de l’université Sultan Moulay Slimane de Beni Mellal, encore au moment de son premier mandat antenne de l’université Cadi Ayyad de Marrakech, lui ont permis d’ouvrir grand les portes à des échanges internationaux et de contribuer ainsi à son rayonnement.